Le confinement a vu de nouveaux liens se tisser avec les réfugié·e·s. Des ordinateurs portables ont été prêtés. Les cours ont eu lieu à distance. La créativité et l’humour s’en sont mêlés. L’épreuve a été rude, mais elle a concerné tout le monde.
Par Alice Bretagne et Mélanie Courvoisier, Association 1951, Lausanne